Voici un documentaire très éclairant sur les « hauts potentiels intellectuels ».
Psychothérapie | Supervision | Coaching
Voici un documentaire très éclairant sur les « hauts potentiels intellectuels ».
Quelque chose s’est cassé
Un bout de lacet accroché
De mes semelles usées
Le temps s’est mis à danser
Pourtant le ciel est bas
Ce matin je prend goût à la foi
Pourtant le ciel est bleu
De mes veines mon sang fait ce vœu
Je déteste la connerie
Les faux semblants et les polis
Je retrouve ma vie
Je l’avais quittée ainsi
J’irai par les chemins
De ces nuits au matin
Chercher le très haut
Au cœur des caniveaux
Auteur anonyme
« Sum et Singulis » est la devise de la Comédie Française.
Etre ensemble et être soi-même.
Quelle auguste devise pour les démarches de cocréation, les dynamiques d’équipe et de groupe !
Voici un article intéressant sur la nécessité de transmission du « roman familial » et d’y inclure les enfants, pour qu’ils se situent.
Bon article qui pointe la dérive de la CNV : la manipulation.
http://www.daliborka-milovanovic.fr/les-ecueils-des-techniques-de-communication-dites-non-violentes/
« S’assumer comme sujet c’est devenir adulte. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il n’y a plus d’enfant en nous, au contraire. C’est justement parce que cet enfant, nous nous en occupons, que nous pouvons devenir adulte. Les enfants abandonnés au fond de nous-mêmes réclament toujours cet amour des autres. Cet amour infantile devient une sorte de quête éperdue et perdue, d’autres en charge de faire naitre notre désir. Cette responsabilité, personne ne peut la porter. Une fois que cet enfant est accueilli, il n’y a plus que nous pour faire ce travail. Souvent cela nécessite de prendre soin de cette blessure au fond de nous, blessure que nous appelons enfant. La soigner, c’est faire advenir le sujet que nous sommes. Et ce sujet fier, se tient debout dans la société des Hommes, arrimé à son désir qu’il est le seul à pouvoir assumer. C’est cela être un adulte, c’est aimer l’enfant que nous étions et prendre soin de lui. C’est ce que nous cherchons sur le divan de l’analyste, cet enfant perdu. Et c’est parce qu’il est perdu qu’il prend tant de place, lui et ses blessures. » – texte de Joseph Renaud Parnassus